La disparition des abeilles
En collaboration avec l’école secondaire Soulanges, Curium est fier de partager avec vous, une fois par mois, des textes du projet Encyclopédie des solutions pour protéger l’environnement.
Sans les abeilles, notre survie sur la planète pourrait être remise en cause. En effet, les abeilles sont primordiales pour notre agriculture. Elles font la pollinisation. Sans cette pollinisation, plus de 130 types de récoltes seraient menacées de disparaître, comme, par exemple, les récoltes de pommes, de café, de cacao, etc. Seules le quart des cultures ne dépendent pas des pollinisateurs tels les papillons, les syrphes, les pucerons, les cétoines dorées ou les abeilles.
Courons-nous, en plus, vers une pénurie de miel? Saviez-vous que, l’UNAF (Union Nationale de l’Apiculture Française) a évalué qu’il y avait 1000 apiculteurs en moins chaque année en France? Ils étaient 70 000 en 2013. De plus, près de 30% des colonies d’abeilles disparaissent chaque année. Le miel est de plus en plus rare et de plus en plus cher. La production de miel est en baisse.
Les solutions
Nous pouvons aider à faire une différence pour les abeilles avec 5 gestes simples.
1- Consommez plus de miel!
Vous pouvez acheter du miel produit près de chez vous, de sorte que vous soutenez les apiculteurs locaux. Si vous consommez plus de miel, les apiculteurs seront encouragés, ce qui devrait faire augmenter le nombre de ruches.
2- Plantez des fleurs dans le jardin ou simplement dans des pots à l’extérieur.
Le simple fait de planter quelques fleurs peut faire une partie de la différence. Vous pouvez vous procurer des semences qui attirent les insectes pollinisateurs et ce pour toutes les sortes de sols. Pour les sols secs (calcaire ou acide), plantez des coquelicots, camelines, résédas jaunes, etc. Pour les sols humides ou frais vous pouvez planter de la grande bardane, de la chicorée, de la vipérine, etc.
Pour lire l’article complet :
http://environnement.mongroupe.ca/la-vie-sans-les-abeilles
merci beaucoup Julie!helpwithmath
ABEILLES ET MOUTON À DEUX PATTES
Que ce soit dans le domaine apicole, ou, même, par rapport à beaucoup d’autres, il est à craindre aujourd’hui, hélas, que même sonner le tocsin ne suffise plus. Pas plus qu’aucune sorte de glas, d’ailleurs !
La raison en est que le « mouton » à deux pattes semble avoir déjà pris ses quartiers dans la plus morne, la plus funeste des cellules carcérales qu’une société, y compris actuellement la nôtre, ait jamais pu imaginer pour contraindre quiconque à baisser la garde. C’est-à-dire, lui-même.
Quand à sa fantasmatique canne à pêche, aux libertés ferrées, elle n’attrape plus que des poissons morts.
D’ailleurs, même la porte rouillée de son sinistre cachot, qui claque désormais au vent de ses renoncements et de ses rêves abandonnés sur le carreau de son indifférence, ne s’ouvre plus que sur le néant sidéral du cimetière moral de ses coupables complaisances.
Du reste, ennuyé de lui-même, et le coeur à demi vide, à l’instar d’une vieille gourde percée, il semble que plus rien nulle part ne l’intéresse.
Excepté, peut-être, de pouvoir encore brouter -tranquille- quelques brindilles du foin humide que ses maîtres mondialistes consentent encore à lui jeter. Pour l’instant !…
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https://finalscape.com/environnement-hiver-2017-2018-80-de-mortalite-chez-nos-amies-les-abeilles/